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Cascade de mots

7 septembre 2012

Vision altruiste du bonheur.

On se forge un esprit, une complaisance dans le bonheur qui nous touche. Sans savoir que tout est prévisible, tout se jauge, tout est quantifiable dans ce monde. La seule chose, c’est que l’on y fait pas attention, on ne se risque pas à chercher plus loin, on se focalise sur une même pensée qui nous fait tourner en rond. Seuls les déterministes peuvent se faufiler dans cette population. On est dans sa façon d’agir, une personne intelligente. Il n’y a pas de sens à une vie si elle ne rime à rien. Le but ultime de la vie et la continuité de celle-ci. Le reste de la vie n’est qu’un plus. C’est là que tout se joue. On peut très bien n’avoir jamais ou n’avoir encore pas eu un commencement d’une vraie vie. Parce que finalement, celle-ci ne s’attache qu’avec des détails. Et c’est sur nos choix que ces détails s’appuient. Un simple oui peut tout changer, peux bouleverser une vie en bien, en mal, libre appréciation de chacun. Personne n’est parfait, personne ne vit dans un cadre qu’il ne dépasse jamais, car les limites sont faites pour être franchies. L’humanité a créé les mots pour se comprendre et connaître les autres. Pourtant, avant de vouloir connaître les autres, il faut se connaitre soi-même, sinon cela ne rime à rien. On ne peut pas changer du jour au lendemain, on ne peut que faire des choix qui nous permettent d’être heureux. Ce bonheur, comprends des concessions forcément car toute personnes à une histoire, un patrimoine propre, une réflexion partielle de ce que peuvent penser les autres ainsi qu’elle-même. Aussi, la loyauté envers les personnes aimées est extrêmement importante, parce que c’est dans la totale acceptation de l’autre, qualités et défauts associés, que la véritable cohésion, la véritable compréhension peut s’installer.  On peut rejoindre l’adage personne n’est parfait. Sans cette loyauté partagée, rien ne peux exister, hormis un simple contact. Mais, ce n’est pas ça le bonheur. Le bonheur réside dans la famille, le bonheur réside dans la future famille à créer. Oui, nous sommes des créateurs, nous perpétuons notre espèce humaine tout en essayant de rallonger notre vie au maximum. C’est là que nous sommes les plus fort. Pourtant, toute la vie est dérivée par une société qui dirige les gestes, qui dirigent nos moindres envies, nos moindres attentions. Alors, on veut se distinguer par n’importe quelle manière, qu’elle soit complétement superficielle ou complétement folle pour impressionner et passer pour une bonne personne pour tous, mais personne ne pensent pareil. C’est normal de vouloir laisser une trace de notre passage sur cette terre. Mais à quel prix. Les seules personnes qui n’auront qu’une attention sincère, sont les personnes aimées. Il y a aussi, la personne. Celle qui te ressemble. Celle que tu comprends sans détour. Celle avec qui tu t’entends naturellement. Celle qui est là pour toi, pour n’importe quoi. Celle à qui tu peux parler sans tabou. Celle qui te fait rire en faisant n’importe quoi. Celle qui te fait sourire rien qu’en te regardant. Celle qui te fais pleurer, et qui te réconforte. Celle qui s’excuse pour l’important et le moins. Celle qui n’a que des attentions les plus petites fusent elles. Celles qui rigolent de tes défauts mais qui s’en moque. Celle qui te fait un simple câlin pour te prouver qu’elle tient à toi. Celle qui rejette la faute sur elle-même. Celle qui ne peut t’en vouloir, pour rien. Celle qui fait chavirer tes pensées. Celle qui occupe ton esprit constamment. Celle qui veille à ton bien être. Celle qui partage un épanouissement intellectuel. Celle qui veut construire des choses. Celle qui a des rêves. Celle qui croit en toi. Celle qui n’a pas peur de l’avenir. Celle qui vie avec le passé. Celle qui est sincère sur tout. Celle qui veut vivre à tes côtés. Celle qui a déjà était mis à l’épreuve une fois. Celle qui te fait plaisir. Celle qui marche à tes côtés. Celle qui a fait battre ton cœur plus fort que les autres. Celle qui a choisi le bonheur. On nous demande de balayer devant notre porte. Mais avons-nous le temps de le faire ? Et pouvons-nous réellement le faire complétement ? Je ne pense pas sincèrement. On n’oublie rien, on vit avec. Et malgré ceci, on ne peut pas en vouloir à quelqu’un parce que c’est le destin. Cruel sois-t-il. Mon rêve n’est pas une carrière rempli de billet. Le bonheur n’est pas dans l’argent, ni dans le matériel. Tout ceci n’est qu’un plus. Le principal, c’est le bonheur, le principal c’est de vivre celui-ci avec son âme sœur, avec sa moitié. Et quand on l’a trouvé, on ne peut que l’attendre, parce qu’il n’en existe pas deux. Ce n’est pas de la rareté, c’est une unique chance. Et on s’en rends compte tôt ou tard. Et le vrai bonheur commence.

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7 septembre 2012

Rare.

Courbe douce, silence mélodieux

Misère d'un repas achevé,

En route vers ce lieu,

Ou toute les âmes peuvent pêchées.

 

C'est un arrêt tellement silencieux,

Qu'il est facile de rater le wagon,

Surement le bon, capricieux,

A accrocher avec conviction.

 

Un ange passe, le déluge,

Un rendez-vous trop tôt, juste,

Pour deux êtres sages,

Sans trop, je tâte.

 

Splendide étoiles, tes yeux,

Qui n'appartiennent qu'à un être,

Qui n'est que chanceux,

D'avoir une attention autre.

 

Autre homme sous le coup,

D'une blessure, sans frontière,

Ou ne parait pas tout,

Seulement la lourdeur d'une pierre.

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